Conjoncture de l’emploi et du chômage au 2e trimestre 2015
- 16 octobre 2015
- Dares Analyses N°076
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
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Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
À la fin du 2e trimestre 2015, 549 000 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 19 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+3,6 %).
En 2013, 56,1 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
À la fin du 1er trimestre 2015, 531 000 salariés sont intérimaires, soit une baisse de 8 900 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (-1,6 %).
À la fin du 4e trimestre 2014, 542 100 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 24 100 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+4,7 %).
À la fin du 3e trimestre 2014, 518 500 salariés sont intérimaires, soit une baisse de 21 800 postes par rapport au trimestre précédent (-4,0 %).
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
7,4 millions de contrats de travail temporaire ont été conclus en 1991, soit 1,6 % de moins qu'en 1990. Pour la première fois depuis le milieu des années 1980, le nombre annuel de contrats conclus a diminué.
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.
Entre 1986 et 1990, le nombre d'entreprises pratiquant l'intéressement est passé de 2 160 à 10 700.