Les baisses les plus nettes sont observées dans les deux principales régions utilisatrices du travail temporaire, l'Île-de-France (- 7 %) et Rhône-Alpes (- 5 %), ainsi qu'en Franche-Comté (- 20 %).
Par contre, l'activité contractuelle a continué à progresser assez fortement dans le Nord-Pas-de-Calais (+ 10 %), en Auvergne (+ 9 %) et en Alsace (+ 7 %).
L'augmentation globale du volume de l'intérim au cours du premier semestre de 1991 résulte d'évolutions contrastées selon les secteurs d'activité. Le recours à l'intérim s'est réduit dans l'industrie ; la baisse est la plus sensible dans les biens d'équipement (où le volume de travail temporaire a diminué de 11 % par rapport au premier semestre de 1990), en particulier dans la construction automobile (- 40 %).
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