L’emploi intérimaire reste stable au 2e trimestre 2016
- 29 septembre 2016
- Dares Indicateurs N°054
L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
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L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
En 2014, 55,8 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
L’emploi intérimaire pèse sur les évolutions de l’emploi salarié dans l’industrie et la construction.
À la fin du 4e trimestre 2015, 586 200 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 18 900 postes par rapport à la fin du trimestre précédent (+3,3 %).
En 2014, l’activité dans le secteur des services à la personne recule de 0,9 %.
À la fin du 3e trimestre 2015, 566 200 salariés sont intérimaires, soit une hausse de 16 400 postes par rapport à la fi n du trimestre précédent (+3,0 %).
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
7,4 millions de contrats de travail temporaire ont été conclus en 1991, soit 1,6 % de moins qu'en 1990. Pour la première fois depuis le milieu des années 1980, le nombre annuel de contrats conclus a diminué.
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.
Entre 1986 et 1990, le nombre d'entreprises pratiquant l'intéressement est passé de 2 160 à 10 700.