Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
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En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
En 2022, les entrées en contrat de professionnalisation s’élèvent à 118 800, un niveau proche de celui de 2021 (-1 %). Le nombre de contrats en cours au 31 décembre 2022 atteint 97 900, en baisse par rapport à l’année précédente (-5 %).
Depuis plus de 20 ans, la sociologie de l'action publique a documenté la manière dont les réformes de l'État ont contribué à importer, dans les ministères, des instruments managériaux issus des grandes entreprises.
Consultez toutes les données de suivi des dispositifs consacrés à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
L'enquête révèle des données clés sur la participation, l'intéressement, les plans d'épargne et l'actionnariat salarié. Elle éclaire sur l'épargne salariale, avec des détails sectoriels enrichissants pour la compréhension économique.
Au 4e trimestre 2023, 67 000 salariés seraient en activité partielle en moyenne chaque mois, après 51 000 au 3e trimestre 2023, soit une hausse de 33 % (non corrigée des variations saisonnières).
Aujourd'hui, beaucoup d'offres d'emploi sont publiées en ligne, et parfois sur différents sites internet. Avec Jocas, la Dares utilise ces millions d'offres pour contribuer à améliorer la compréhension du marché du travail. Yannis Bouachera, data scientist à la Dares, nous explique.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés. Depuis 2018, le champ de l'enquête est étendu à toute la France hors Mayotte.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.