Les tensions sur le marché du travail en 2020
- 30 novembre 2021
- Dares Résultats N°69
En 2020, les tensions sur le marché du travail diminuent pour la première fois depuis 2015, et retrouvent leur niveau de 2017.
11 résultats
En 2020, les tensions sur le marché du travail diminuent pour la première fois depuis 2015, et retrouvent leur niveau de 2017.
Interview - Alexis Eidelman, chef du département Analyse des métiers et emploi des travailleurs handicapés à la Dares a été auditionné par la Commission Travail et emploi du Conseil économique, social et environnemental (CESE).
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.
Comment qualifier la qualité de l’appariement entre l’offre et la demande sur le marché du travail français ? À quels facteurs attribuer l’accroissement des tensions qui prévalait avant la crise sanitaire ?
Ce document de travail vise à étudier les déterminants des tensions sur le marché du travail, et à en proposer différentes mesures.
En 2019, 9,3 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.