Évaluation des politiques publiques de l'emploi
- Le 2 décembre 2009
10 résultats
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Au 1erjuillet 2009, la revalorisation du Smic horaire a concerné 10,6 % des salariés des entreprises non agricoles hors intérim, contre 13,9 % au 1er juillet 2008.
594 000 demandeurs d’emploi sont entrés en formation en 2007, soit 6 % de moins qu’en 2006.
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Les entreprises de services aux particuliers, le commerce et quelques secteurs industriels de main-d’œuvre emploient de fortes proportions de salariés rémunérés sur la base du Smic.
En juillet 2008, la hausse du SMIC horaire a touché 14,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 190 000 personnes, hors apprentis, dont 940 000 à temps partiel.
En 2007, 10 200 dossiers de candidatures à un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience. Près de 9 000 candidats se sont présentés à une épreuve de validation.
En 1993, 226 500 personnes sont entrées en stage dans le cadre des Actions d'Insertion et de Formation (AIF). Ce nombre, quoique en diminution de 15 % par rapport à celui de 1992, reste supérieur aux niveaux de 1991 et 1990.
Le respect des obligations légales lors du relèvement du SMIC de juillet 1993 a entraîné une baisse de la proportion parmi les salariés qui passe en un an de 8,6 à 8,2 %. En outre, le vieillissement de la population des salariés au SMIC se poursuit.