Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
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Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
56,6 % des salariés concernés par la hausse du Smic sont des femmes, et même près de 64 % dans les entreprises de 500 salariés ou plus, alors qu’elles représentent moins de la moitié des salariés, y compris dans les grandes entreprises.
Une analyse tenant compte notamment de la taille, du secteur et de l’intensité capitalistique ne montre pas de lien global entre exposition au Smic et rentabilité.
Plus que d’apporter une appréciation stabilisée des résultats du dispositif, l’objectif de ce rapport intermédiaire est de repérer déjà les marges d’amélioration possible en vue de la généralisation.
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
464 000 contrats aidés ont débuté en 2015, 347 000 dans le secteur non marchand et 117 000 dans le secteur marchand.
En 2013, les emplois rémunérés sur la base du Smic concernent plus de 8 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
L’évolution des contrats emploi-solidarité et des contrats emploi consolidé en 2004 s’inscrit dans la continuité des années précédentes avec la baisse du nombre d’entrées.
En 2004, 93 000 salariés ont été embauchés en Contrats Initiative Emploi (CIE), soit une hausse de près de 50 % par rapport à 2003.