L’insertion par l’activité économique en 2016
- 15 novembre 2017
- Dares Résultats N°074
Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
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Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
Le salaire mensuel de base (SMB) dans les entreprises de 10 salariés ou plus a progressé de 1,2 %, comme en 2015.
Cet article décrit la manière dont les bénéficiaires d’un dispositif particulier de politique de l’emploi, l’insertion par l’activité économique (IAE), sont accompagnés et formés durant leur parcours et leur ressenti objectif et subjectif sur ce parcours.
Comment des entreprises sociales particulières, les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), remplissent-elles leur mission d’accompagnement et de réinsertion de publics en difficulté tout en réalisant une activité de production au sein d’un environnement économique plus ou moins concurrentiel ?
Fin 2014, 15,3 millions de salariés sont couverts par 712 conventions collectives de branche (hors branches agricoles) regroupées en 466 conventions collectives agrégées.
En 2014, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 957 euros et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 225 euros.
L'amélioration de l'emploi qui se dessine en fin d'année 1996 est portée par une forte poussée des embauches dans le secteur tertiaire, amorcée dès le troisième trimestre et confirmée au quatrième trimestre dans les établissements plus grands.
Les salariés des associations intermédiaires sont le plus souvent des femmes, relativement jeunes et d'un niveau de formation peu élevé. Avant leur entrée dans une association, la plupart connaissent une situation d'emploi précaire ou un passage par le chômage.
Dans une période où la conjoncture économique a été difficile à discerner, le rythme des embauches (en CDI ou CDD) est resté stable, tandis que les sorties se sont amplifiées au second trimestre du fait de la poussée des fins de CDD dans le secteur tertiaire.