Évaluation des politiques publiques de l'emploi
- Le 2 décembre 2009
8 résultats
Moins souvent en emploi et davantage touchées par le chômage, les personnes résidant en zones urbaines sensibles (ZUS) sont souvent confrontées à d’importantes difficultés d’insertion sur le marché du travail.
Afin de rendre compte de la discrimination à l’embauche à l’encontre des jeunes des banlieues d’Ile-de-France pour la profession de serveurs, un « testing » portant sur l’accès aux entretiens d’embauche a été réalisé entre octobre et décembre 2006 sur 119 offres d’emploi.
594 000 demandeurs d’emploi sont entrés en formation en 2007, soit 6 % de moins qu’en 2006.
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les salariés étrangers sont 738 000, soit une augmentation de 4,8 % par rapport à 1988 où ils étaient 703 000. Leur nombre demeure toutefois nettement inférieur à celui de 1985, qui s'élevait à 788 000.
Globalement, la conflictualité décroît depuis plus d'une décennie. Ainsi, sur la période 1982 - 1992, le nombre moyen de jours de grève a été de 1,1 million par an. Il était de 3,3 millions entre 1971 et 181.