Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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En 2015, 1,3 % des entreprises de 10 salariés et plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit un taux équivalent à celui de 2014. Ces entreprises emploient 24 % des salariés du champ.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
Après s’être beaucoup accrue au cours de l’année 2007, la rotation de la main-d’œuvre, hors recours à l’intérim, poursuit sa hausse au début de l’année 2008 avant de se replier progressivement à partir du deuxième trimestre.
En 2007, le taux de rotation de la main-d’œuvre dans les établissements de 10 salariés ou plus augmente très nettement par rapport à 2006 et dépasse son précédent sommet de 2000 pour s’établir à 46 %.
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
Les demandes de licenciement visant les salariés protégés ne sont pas indépendantes de l’activité économique et des autres licenciements au sein des établissements de 50 salariés et plus.
Le troisième trimestre 1997 vient clore une période d’une année environ de croissance modérée de l’emploi.
La reprise économique se traduit par un marché du travail plus actif : dans les entreprises, entrées et sorties se font plus nombreuses.
En 1996, les établissements de 10 salariés ou plus du secteur privé ont connu un turnover correspondant au tiers de leur effectif de début de l’année. Au total, 22 % des embauches se sont faites en contrat à durée indéterminée.