Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
Au deuxième trimestre 1990 on estime à 880.000 le nombre d'entrées et de sorties dans les établissements de 50 salariés et plus. Ces mouvements laissent un solde positif de 80.000 emplois supplémentaires.
En 1989, les établissements de 10 salariés et plus qui employaient près de 10 000 000 de personnes, ont enregistré 6 500 000 mouvements de main-d'oeuvre (non compris les mouvements provoqués par les missions d'intérim).
On estime à près de 850 000 le nombre de mouvements déclarés au cours de ce trimestre, correspondant à un solde brut d'environ 50 000 emplois.
En 1989, on a décompté dans les entreprises à peine plus de 900 000 journées individuelles non travaillées (JINT) : 800 000 pour les conflits localisés et 104 000 pour les conflits généralisés. En volume, la conflictualité est donc en recul par rapport à l'année précédente.
Après la pause des deux trimestres précédents où les effectifs n'avaient progressé que de 0,1 % chaque trimestre, les établissements de 50 salariés et plus créent à nouveau des emplois au quatrième trimestre 1989.
Au cours du troisième trimestre 1989, on a enregistré prés de 1 330 000 mouvements qui se répartissent en 650 000 entrées et 680 000 sorties correspondant en données brutes, à une perte de 30 000 emplois.