Les contrats d'aide à l'emploi du plan de cohésion sociale en 2006
- 5 octobre 2007
- Dares Résultats N°41.2
Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
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Au troisième trimestre de l’année, l’Éducation nationale a recruté un nombre important de contrats d’avenir.
En 2005, la participation aux élections aux comités d’entreprise a atteint 63,2 % des inscrits.Elle diminue de 0,6 point par rapport à 2003.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
Au cours des quinze dernières années, la présence syndicale dans les établissements de 20 salariés et plus s’est accrue et diversifiée.
En 2004, 96 500 habitants des zones urbaines sensibles (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors apprentissage, soit 12 % du total des entrants dans ces dispositifs en France métropolitaine.
Les salariés en contrat court, c’est-à-dire en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim, sont préoccupés par la précarité de leur emploi, et notamment par le risque de se retrouver au chômage.
À partir du 29 juillet 1998, le contrat emploi consolidé (CEC) a été ouvert aux personnes en difficulté d’insertion qui ne sont pas passées préalablement par un contrat emploi-solidarité (CES).
Plus des trois quarts des responsables d’établissement d’au moins 20 salariés déclarent avoir rédigé un document d’évaluation des risques professionnels en 2004. Cependant, les salariés et leurs représentants n’en sont pas toujours bien informés.
La présence des institutions représentatives du personnel, qu’elles soient élues ou non, s’est renforcée au cours de ces dernières années : en 2004-2005, 77 % des établissements de 20 salariés ou plus en sont dotés, contre 74 % en 1998-1999.