Le travail à l’ère du numérique : vers un renouveau du dialogue social ?
- Le 5 novembre 2018
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Ce document d’études présente l’analyse de 43 accords d’entreprise, parmi les premiers traitant de la fusion des IRP, et permet de tirer certains enseignements quant aux motivations, à la mise en place et au fonctionnement des IRP regroupées.
Depuis le début de la décennie 2000, pouvoirs publics et partenaires sociaux ont pris de nombreuses mesures pour inciter au maintien des seniors en activité.
Au cours de l’année 2017, le nombre de personnes en emploi a augmenté de 341 000 en France (hors Mayotte).
Quels types de regroupements ont été mis en place? Quels sont les motifs de fusion des instances représentatives du personnel ?
En 2016, 186 400 salariés ou anciens salariés du secteur privé ont intégré l’un des dispositifs publics de cessation anticipée d’activité qui permettent à certains salariés seniors de cesser leur activité avant l’âge légal de la retraite, tout en percevant un revenu.
Entre 2001 et 2012 la part de femmes parmi les élus titulaires aux comités d’entreprise ou d’établissement (CE) et aux délégations uniques du personnel (DUP) est passée de 32 % à 40 %.
Le nombre des entrées en préretraites s'est accru de 22 % en 1991, après une baisse de 19 % en 1990. 175 300 bénéficiaires de préretraites de la génération née entre 1932 et 1936 étaient indemnisés en fin d'année 1991 par l'Unedic pour le compte de l'Etat (FNE).
1,6 million de salariés ont participé en 1991 à l'élection de leurs représentants aux Comités d'Entreprise, soit 63,8 % des électeurs inscrits. Les listes de non syndiqués poursuivent leur progression et recueillent presque 31 % des voix.