Santé et itinéraire professionnel
- Le 25 juillet 2011
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Plus d’un tiers des personnes de 50 à 59 ans déclarent avoir été exposées au moins quinze ans à une pénibilité physique.
Entre 2007 et 2008, le nombre moyen de salariés en insertion travaillant dans les structures de l’insertion par l’activité économique a progressé de 5 %, passant de 107 000 à 112 000.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
Globalement, les femmes occupent des emplois où le travail est moins formalisé mais où elles disposent de moins de marges de manœuvre que les hommes.
Parmi les personnes en emploi qui signalent un problème chronique de santé – qu’il soit bénin, sérieux ou grave -, une sur deux estime qu’il est « causé ou aggravé par le travail » d’après les résultats de l’enquête « Santé, Handicap et Travail » de 2007.
En 2007, 44 000 maladies professionnelles contractées par les salariés affiliés au régime général de la sécurité sociale ont été reconnues.
Les parcours professionnels participent à la préservation ou à l’altération de la santé des personnes, même après leur sortie d’emploi ; en sens inverse, la santé peut provoquer des ruptures ou des réorientations dans la vie professionnelle.
De 1987 à 1989, le nombre d'établissements assujettis a légèrement augmenté. Celui des établissements ayant au moins un CHSCT a décru. Le taux de couverture diminue donc de 67,1 % en 1987 à 65 % en 1989.
Entre 1986 et 1988, la population des stagiaires s'est féminisée et rajeunie : la part des femmes est passée de 56 % à 63 % ; la part des plus jeunes c'est-à-dire les moins de 19 ans, de 26 % à 35 %.