La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Sur l’ensemble du secteur salarié privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), 615 000 emplois sont vacants en moyenne en 2023, dont 40 % dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Les très petites entreprises (TPE), de moins de 10 salariés, emploient 18 % des salariés du secteur privé non agricole en 2022. Elles se trouvent en dessous des seuils légaux qui imposent l’élection de représentants du personnel ou la tenue de négociations collectives.
Au premier trimestre 2024, l’emploi salarié privé augmente de 0,2 %, après -0,1 % au trimestre précédent.
Si l’enquête Conditions de travail permet d’objectiver les différentes formes de pénibilité auxquelles sont exposés les salariés dans leur travail, elle ne permet d’en mesurer ni l’intensité, ni la durée.
52% des salariés sont exposés de manière « élevée ou très élevée » aux facteurs de pénibilité physique.
En 2020, un organisme de services à la personne sur trois déclare avoir cessé totalement son activité au cours du premier confinement.
En 2018, 16 % des travailleurs, soit 4,3 millions d’individus, perçoivent un revenu d’activité inférieur à 60 % du revenu d’activité médian de l’ensemble des travailleurs, soit moins de 1 097 euros mensuels nets.
En France, depuis deux siècles environ, les gouvernements successifs jouent un rôle crucial dans la mise en place d’infrastructures permettant de mettre en relation des demandeurs d’emploi avec des postes. Retraçant cette histoire, l’article rend également compte des catégories et des cadres idéologiques mobilisés par les pouvoirs publics pour mettre en œuvre un tel appariement.
En moyenne entre 2014 et 2020, au cours des quatre premières années à l’issue des études, le taux d’emploi des personnes sorties à 16 ans ou moins du système scolaire croît nettement plus lentement que celui des sortants à partir de 17 ans.