L'emploi intérimaire au 3e trimestre 2009
- 22 décembre 2009
- Dares Indicateurs N°52.1
À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
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À la fin du troisième trimestre 2009, 473 500 salariés sont intérimaires, soit +36 900 par rapport au trimestre précédent (+8,5 %).
À la fin du deuxième trimestre 2009, 436 600 salariés sont intérimaires, soit +2 500 par rapport au trimestre précédent (+0,6 %).
En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
À la fin du premier trimestre 2009, 435 900 salariés sont intérimaires. Comme au quatrième trimestre 2008, la baisse du nombre d’intérimaires est d’une ampleur exceptionnelle : -80 800 postes au premier trimestre 2009 (soit -15,6 %), après -79 500 (-13,3 %).
À la fin du quatrième trimestre 2008, 516 700 salariés sont intérimaires, soit 79 500 de moins qu’à la fin du trimestre précédent.
À la fin du troisième trimestre 2008, 594 500 salariés sont intérimaires, soit -26 000 de moins qu’au trimestre précédent. Après le fort repli du deuxième trimestre 2008 (-7,3 %), l’emploi intérimaire se réduit encore, mais à un rythme moins élevé (-4,2 %).
Pour la première fois depuis trois ans, on enregistre en 1996 une légère augmentation du nombre des demandes de licenciement de représentants du personnel, de l'ordre de 4 %. Le nombre de recours hiérarchiques, et celui des décisions ministérielles, ont augmenté d'autant.
Le taux de participation aux élections des comités d'entreprise a augmenté de 0,9 point entre 1993 et 1995, pour atteindre 66 %. L'inversion de tendance amorcée en 1992 se confirme donc, après un recul constant des taux de participation depuis les années 1970 et jusqu'en 1991.
L'augmentation du taux de participation aux élections des comités d'entreprise se confirme en 1994. Les listes de non syndiqués sont toujours en tête des suffrages, mais leurs résultats marquent le pas pour la première fois depuis 1978, tandis que la CFDT progresse un peu.
Plus d'un salarié sur quatre et un ouvrier sur deux, connaissent des contraintes articulaires pendant leur travail : gestes répétitifs à cadence élevée ou position forcée d'une ou plusieurs articulations.