Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
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En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
En 2019, un salarié sur cinq travaille à temps partiel. Les femmes sont les premières concernées, notamment dans certains métiers du nettoyage, de la santé, de l’aide à domicile, de la restauration et de la vente.
Ce document tente d’identifier le lien entre réduction individuelle du temps de travail, à travers l’emploi à temps partiel, et conditions de travail.
En 2022, les entrées en contrat de professionnalisation s’élèvent à 118 800, un niveau proche de celui de 2021 (-1 %). Le nombre de contrats en cours au 31 décembre 2022 atteint 97 900, en baisse par rapport à l’année précédente (-5 %).
Fin mars 2024, 754 500 personnes occupent un emploi intérimaire (données provisoires, corrigées des variations saisonnières), soit une hausse de 0,8 % par rapport au mois précédent (soit +5 700 intérimaires), après −0,7 % en février 2024 et −0,3 % en janvier 2024.
Consultez toutes les données de suivi des dispositifs consacrés à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
En 2023, 17,4 % des salariés hors apprentis en France (hors Mayotte) travaillent à temps partiel dans leur emploi principal. Le temps partiel concerne plus d'une femme sur quatre contre moins d'un homme sur dix.
Aujourd'hui, beaucoup d'offres d'emploi sont publiées en ligne, et parfois sur différents sites internet. Avec Jocas, la Dares utilise ces millions d'offres pour contribuer à améliorer la compréhension du marché du travail. Yannis Bouachera, data scientist à la Dares, nous explique.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.