Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
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Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2003, le processus de réduction de la durée du travail prend fin. Il ne concerne plus qu’un nombre restreint de salariés dans des entreprises de petite taille.
En France, la croissance économique du premier semestre a été inférieure aux prévisions : après un rebond en début d'année, le PIB enregistre une baisse de -0,3 % au deuxième trimestre 2003.
En 2002, 1 086 plans sociaux ont été signés, nombre globalement stable par rapport à 2001.
Une baisse de la durée annuelle de moindre ampleur.
De 1997 à 2001, l'embellie de l'emploi s'accompagne paradoxalement d'une hausse des entrées à l'ANPE faisant suite à un licenciement pour motif personnel.
Après avoir bien résisté en 2002, l'emploi s'est ajusté au premier trimestre 2003 (-0,3 %, soit -49 000).
Le chômage de longue durée pâtit du surcroît d'inscriptions enregistrées par l'ANPE depuis deux ans.
Entre mars 2001 et mars 2002, l'emploi diminue dans presque toutes les familles professionnelles de l'industrie, et sa progression ralentit dans la plupart des autres domaines professionnels.