La dépense nationale de formation professionnelle en 2000
- 8 mai 2003
- Dares Résultats N°18.2
Une orientation particulière vers les jeunes.
10 résultats
Une orientation particulière vers les jeunes.
En 2000, les prestataires ayant exercé une activité de formation à titre principal dégagent un chiffre d'affaires de 2,7 milliards d'euros, supérieur à celui de l'année précédente.
En 1998, tous secteurs confondus, 62 % des salariés, soit près de 11 millions, déclarent être en contact direct avec le public, proportion quasi stable depuis 1991.
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
Environ 780 000 jeunes sortent du système éducatif chaque année depuis 1997. Ce nombre important de sortants est lié à l'arrêt de l'allongement des études.
60% des parents de jeunes enfants déclarent que la réduction du temps de travail leur a permis de mieux concilier leur vie familiale et leur vie professionnelle.
La manutention manuelle de charges est une contrainte physique fréquente : elle touche près de quatre salariés et six ouvriers sur dix. Cependant, pour les deux tiers des salariés exposés, il s'agit seulement d'une tâche occasionnelle.
Avec près de 200 000 nouveaux contrats signés en 1996, l'essor de l'apprentissage, amorcé en 1993, se poursuit.
Les dépenses pour la formation des salariés se maintiennent tant dans le secteur public que dans le secteur privé, ainsi que les dépenses pour les jeunes en première insertion sur le marché du travail. Celles en faveur des demandeurs d'emploi reculent.
En 1995, 5 000 organismes, soit un organisme de formation continue sur cinq, ont dispensé des formations à des jeunes sous contrat d'alternance (contrat de qualification, d'adaptation ou d'orientation).