L'emploi des seniors
- Le 29 octobre 2010
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Au cours de l’année 2009, 7 260 personnes du secteur privé sont entrées dans un dispositif de préretraite publique en France métropolitaine, soit un recul de 12 % par rapport à 2008.
En 2008, les employeurs du secteur marchand estiment, dans leur majorité, que les salariés seniors sont un atout pour le collectif de travail, en termes d’expérience et de savoir-faire, de mémoire d’entreprise et de complémentarité des équipes.
En 2008, 17 % des employeurs du secteur marchand estimaient qu’ils risquaient d’être confrontés à la disparition de certaines compétences clés détenues par les séniors dans les cinq ans à venir.
255 000 emplois ont été perdus en France métropolitaine au cours de l’année 2009, reflet d’un recul annuel historique de l’emploi, alors qu’on comptait déjà 145 000 postes en moins en 2008.
En 2009, 56,9 % des personnes âgées de 50 à 64 ans sont actives, en emploi ou au chômage, en France métropolitaine.
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).
Au cours de l’année 1999, 70 500 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et l’Unédic dénombrait 202 600 allocataires indemnisés au titre de l’allocation spéciale du Fonds National de l’Emploi (ASFNE), de la préretraite progressive ou de l’allocation de remplacement pour l’emploi (ARPE) en fin d’année.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Entre 1996 et 1999, avec le passage de la loi Robien à la loi Aubry, la réduction du temps de travail (RTT) aidée par l’État a changé d’échelle, le nombre d’entreprises et de salariés impliqués ayant décuplé.