Les compétences au service des personnes en recherche d'emploi
- Le 18 décembre 2019
12 résultats
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Au cours de l'année 1993, 2,2 millions de personnes ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi, soit 12 % de plus qu'en 1992. Cette augmentation recouvre cependant des évolutions contrastées entre les deux semestres.
En quatre ans, plus de 530 000 jeunes se sont engagés dans le Crédit Formation Individualisé. Parmi eux, 190 000 étaient dans un parcours en décembre 1993. Il s'agit d'une population en situation d'échec scolaire, dont les tentatives d'insertion ont jusqu'alors échoué.
Depuis le 1er mai, le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 718 738 jeunes au total, dont 132 426 au cours du mois de novembre 1986. Le flux d'embauche du mois de novembre est chaque année en retrait de 25 % par rapport au mois d'octobre
Le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 189 119 jeunes au cours du mois d'octobre, ce qui porte le total depuis le 1er mai à 586 312. Fin octobre, 174 189 stagiaires TUC ont été rémunérés.
En septembre, 168 430 jeunes ont été embauchés ou accueillis en entreprise grâce au plan pour l'emploi des jeunes. Depuis le 1er mai, ils sont donc 397 193.
En 1985, elle atteint 171,5 milliards de francs, soit une augmentation de 13,1 % en francs courants et de 6,9 % en francs constants par rapport à 1984. Sur ces trois dernières années, la Dépense pour l'emploi représente une masse équivalente à un peu plus de 3,5 % du PIB.