Recrutements en contrat aidé
- 6 août 2015
- Dares Analyses N°058
Selon les employeurs de contrats aidés du secteur non marchand, 64 % des embauches en CUI-CAE ou en emploi d’avenir n’auraient pas eu lieu sans l’aide financière de l’État.
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Selon les employeurs de contrats aidés du secteur non marchand, 64 % des embauches en CUI-CAE ou en emploi d’avenir n’auraient pas eu lieu sans l’aide financière de l’État.
Cette étude a pour objet d’évaluer l’impact causal du passage en contrat aidé (CIE, CAE, CAV et CI-RMA) sur la trajectoire professionnelle des demandeurs d’emploi.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
L’enquête formation employeur – européenne (EFE-e) porte sur les pratiques de formation des entreprises ou associations du secteur privé, ainsi que sur leurs attentes et difficultés dans ce domaine.
En 1998, plus de 45 000 prestataires ont exercé une activité de formation, dont 7 600 à titre principal.
Entre octobre 1998, date de lancement du programme Trace, et décembre 1999, près de 42 000 jeunes ont intégré le dispositif.
Durant l’année 1999, près de 158 000 salariés ont été embauchés dans le cadre d’un contrat initiative emploi (CIE).
En 1998, les organismes prestataires de bilans de compétences ont réalisé 78 000 bilans, pour un chiffre d’affaires de 290 millions de francs.