Intégration professionnelle des réfugiés
- Le 20 novembre 2019
Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
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Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
Le rapport souligne la lenteur de la montée en charge du dispositif Rsa activité seul et la nécessité de diminuer le taux élevé de non-recours observé deux ans après sa mise en œuvre si l'on veut parvenir aux objectifs initialement visés.
« D’après vous, parmi les caractéristiques suivantes, quelles sont celles qui vous définissent le mieux ? ». C’est en choisissant au plus quatre caractéristiques parmi une liste de quinze que les personnes interrogées dans l’enquête Trajectoires et Origines (TeO) étaient invitées à définir leur identité.
Les personnes ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2006 ont souvent mobilisé leurs réseaux de relations personnels et familiaux pour s’insérer sur le marché du travail après leur arrivée en France.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 78 milliards d’euros (Md€) en 2008, soit 4,0 points de PIB.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1986 à 182,4 milliards de francs, en augmentation de 7,5 % en Francs courants et de 4,7 % en Francs constants par rapport à l'année précédente. Ce dernier taux est comparable à celui observé en 1985 (+4,6 %).
En 1986, les flux d'immigration active et d'immigration familiale ont été maintenus à un niveau très réduit. Les entrées d'actifs permanents et temporaires étrangers se stabilisent à un niveau bas, autour de 11 000 personnes.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.