Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2015
- 9 novembre 2017
- Dares Résultats N°072
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
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Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
En 2015, 431 000 travailleurs handicapés sont employés dans les 100 300 établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés (OETH).
Pour près de sept établissements sur dix, le recours au CDD est lié au fait que leur besoin était limité dans le temps. Mais pour plus de six établissements sur dix c'est plutôt le moyen de tester les compétences du salarié avant de le recruter durablement.
En 2015, 26 % des établissements disposent d’un service RH et 41 % utilisent leur site internet pour recueillir des candidatures. Dans 45 % des recrutements, Internet a été directement mobilisé pour diffuser des annonces ou consulter des CVthèques.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,6 % au 1er trimestre 2017 et de 1,2 % sur un an.
Dans cette étude, une évaluation de l’impact de l’ATPE sur les flux d’embauche et de sortie des établissements a été menée à partir des données issues de l’Enquête sur les mouvements de main-d’œuvre de la Dares.
Dans un contexte de baisse de du chômage, l’enveloppe financière affectée aux contrats emploi-solidarité (CES) a diminué tandis que celle des contrats emplois consolidés (CEC) augmentait pour offrir une insertion plus durable aux plus exclus.
La dimension territoriale est tout aussi importante que la dimension du métier pour caractériser l’écart entre l’offre et la demande d’emploi.
En 1999, la dépense pour la formation professionnelle s’élève à 144,7 milliards de francs, soit un doublement depuis 1987.
L’analyse des accords conclus entre employeurs et représentants des salariés au premier trimestre 2001 montre que 13 % des entreprises reprennent les négociations salariales après une période de gel des rémunérations consécutive à la réduction du temps de travail.