L'emploi dans le secteur des technologies de l'information et des télécommunications
- 4 août 1998
- Dares Analyses N°33.1
En 1996, les technologies de l’information et des télécommunications font partie des activités fortement créatrices d’emplois.
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En 1996, les technologies de l’information et des télécommunications font partie des activités fortement créatrices d’emplois.
La tendance à externaliser de plus en plus la fonction transport dans l’industrie et la grande distribution s’est poursuivie au cours de la période 1990-1997, au profit des entreprises du transport routier de marchandises.
Depuis le début des années quatre-vingt-dix, le nombre d’emplois a évolué très différemment suivant les professions, à la hausse pour la plupart des catégories de cadres et de techniciens, à la baisse pour les ouvriers non qualifiés.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Les effectifs des professions ouvrières sont en déclin depuis plusieurs années. Cette évolution va de pair avec une transformation rapide du contenu des emplois dans les entreprises et de la qualification des salariés.
En fin d'année 1993, plus de 1 000 Associations Intermédiaires (A. I.) sont en activité. Globalement, l'emploi dans ces associations, tournées vers la réinsertion professionnelle de publics en grande difficulté, progresse de 26 % en un an.
La dépense totale consacrée à la formation professionnelle par l'Etat, les collectivités territoriales, les entreprises et les ménages atteint 124 Milliards de Francs en 1992, progressant de 9 % en volume par rapport à 1991.
Pour la seconde année consécutive, et après cinq années de baisse continue, le nombre de bénéficiaires de l'aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d'entreprise (ACCRE) a augmenté en 1993.
En 1993, 226 500 personnes sont entrées en stage dans le cadre des Actions d'Insertion et de Formation (AIF). Ce nombre, quoique en diminution de 15 % par rapport à celui de 1992, reste supérieur aux niveaux de 1991 et 1990.
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.