Brusque reprise des demandes de chômage partiel en 2001
- 18 août 2002
- Dares Indicateurs N°37.1
En 2001, le ralentissement de la croissance économique s’est traduit par une brusque remontée de la demande de chômage partiel.
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En 2001, le ralentissement de la croissance économique s’est traduit par une brusque remontée de la demande de chômage partiel.
En 2000, les 921 organismes prestataires de bilans de compétences inscrits dans Ie répertoire des organismes actifs ont produit 78 788 bilans pour un chiffre d'affaires de plus de 51 millions d'euros.
En 1993, face à une conjoncture particulièrement dégradée, l'utilisation du chômage partiel comme alternative au licenciement a été massivement pratiquée. Le nombre de journées indemnisables est passé de 11 à 24 millions, chiffre jamais atteint auparavant.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
La dépense totale consacrée à la formation professionnelle par l'Etat, les collectivités territoriales, les entreprises et les ménages atteint 124 Milliards de Francs en 1992, progressant de 9 % en volume par rapport à 1991.
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.
Les entreprises ont adhéré massivement à la mesure dès son instauration. En 1988, première année d'existence du CIF, plus de 46 000 entreprises ont déposé une déclaration fiscale dite n° 2048. Plus de la moitié de ces déclarations émanent d'entreprises de moins de dix salariés.