Construction et mise en œuvre des accords d'entreprise et plans d'action relatifs à l'emploi des salariés âgés
- Le 11 décembre 2013
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Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
En France métropolitaine, en 2012, plus d’une personne sur deux âgée de 18 à 64 ans a suivi au moins une formation dans l’année, que ce soit dans un but personnel ou professionnel.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
En 2010, 1,8 million de salariés, hors assistantes maternelles, ont travaillé au domicile de particuliers pour des services à la personne.
Le marché d’étude sur les préretraites d’entreprises a pour objet l’étude des dispositifs dits de « préretraites d’entreprise » ou « préretraites maison », mis en œuvre dans l’entreprise au cours des cinq dernières années, qu’ils soient ou non toujours en vigueur au moment de l’enquête.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
En 1995, la conjoncture s'est améliorée par rapport à 1993 et le recours au chômage partiel comme alternative au licenciement a beaucoup diminué.
Une fois leurs droits à l'assurance-chômage épuisés, les chômeurs peuvent bénéficier, sous conditions d'activité antérieure et de ressources du ménage, de l'allocation de solidarité spécifique (ASS).
En 1995, les dispositifs publics de cessation anticipée d'activité (préretraites ASFNE et préretraites progressives) ont connu un recul, en rupture par rapport aux tendances enregistrées depuis le début de la décennie 1990.