Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
9 résultats
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
La population étrangère ou d’origine étrangère est confrontée à un chômage et une précarité dans l’emploi en moyenne plus élevés que les Français de naissance.
L’enquête Histoire de vie permet de mettre en évidence la place du travail parmi les différents éléments constitutifs de l’identité des personnes ainsi que l’importance relative accordée à celui-ci par rapport à d’autres activités ou domaines de vie.
En 2000, avec un taux de chômage d’environ 30%, le risque de chômage est notablement plus élevé pour les étrangers ressortissants de pays non européens, et la sortie du chômage est également plus difficile pour eux.
Début 2000, un million d’étrangers âgés de 20 à 60 ans sont salariés du secteur privé.
En 1999, environ 126 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
Depuis 1987, la convention de conversion est proposée aux salariés licenciés pour motif économique pour les aider à se reclasser.
En 1998, les demandes de licenciement de représentants du personnel présentées aux inspecteurs du travail par les employeurs diminuent de 20 % par rapport à 1997.