Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
7 résultats
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Ces derniers représentent 2,5 % des effectifs salariés assujettis, soit 4 % en termes d’ « unités bénéficiaires » comptabilisées selon les critères de la loi.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
Avec une baisse de 11 % en 2003, les embauches en contrats de qualification, d’adaptation et d’orientation reculent pour la troisième année consécutive.
85 000 personnes environ sont entrées dans des dispositifs d'accompagnement des restructurations en 1990 alors que l'ANPE enregistrait environ 430 000 inscriptions suite à un licenciement économique (catégorie 1).
Près de 250 000 handicapés étaient employés en 1989 dans les établissements du privé et du semi-public d'au moins 20 salariés. Ce sont généralement des hommes, âgés et ouvriers, victimes d'accidents du travail.
Au cours de l'année 1990, 1,45 million de personnes ont été embauchées ou sont entrées en stage grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi.