La répartition des hommes et des femmes par métiers
- 13 décembre 2013
- Dares Analyses N°079
Les femmes et les hommes n’exercent pas les mêmes métiers.
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Les femmes et les hommes n’exercent pas les mêmes métiers.
Au 3e trimestre 2013, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi, s’est stabilisé après avoir diminué continûment depuis le 2e trimestre 2011.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Au 2e trimestre 2013, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi, est en baisse (-4 % ce trimestre) après avoir diminué au trimestre précédent.
En 2011, les embauches exonérées dans les territoires de la politique de la ville ont poursuivi leur recul : diminution de 17 % en zones franches urbaines (ZFU) et de 29 % en zones de redynamisation urbaine (ZRU).
Au 1er trimestre 2013, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi, est en baisse (-6 % ce trimestre) après s’être maintenu au trimestre précédent.
Sur un an, les effectifs de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A, B et C continuent à s’accroître (+9 %).
Au troisième trimestre 2001, la baisse, amorcée en juin, de l'indicateur des tensions du marché du travail mesurant le rapport du flux des offres sur celui des demandes, se poursuit.
A la fin de l'année 2000, 2 150 structures d'insertion par l'activité économique, conventionnées par les préfets, étaient en activité en France, soit un nombre légèrement plus élevé qu'un an auparavant (2 064).
Pour la première fois depuis deux ans, l’indicateur des tensions du marché du travail, mesurées par le rapport du flux des offres enregistrées par l’ANPE sur celui des demandes enregistrées, baisse : il passe de 0,9 à 0,8 quand on compare les premiers semestres 2000 et 2001.