Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2005
- 10 novembre 2006
- Dares Indicateurs N°46.3
Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
Fin 2005, 500 000 personnes avaient obtenu un certificat « Naviguer sur Internet » (NSI) validant ce module.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Un état des lieux des mécanismes qui jouent au détriment de l’accès des moins qualifiés à la formation. Ces mécanismes sont multiples et varient selon l’environnement institutionnel propre à chaque catégorie considérée : salariés, demandeurs d’emploi, jeunes...
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
Au deuxième trimestre 1990 on estime à 880.000 le nombre d'entrées et de sorties dans les établissements de 50 salariés et plus. Ces mouvements laissent un solde positif de 80.000 emplois supplémentaires.
En 1989, les établissements de 10 salariés et plus qui employaient près de 10 000 000 de personnes, ont enregistré 6 500 000 mouvements de main-d'oeuvre (non compris les mouvements provoqués par les missions d'intérim).
On estime à près de 850 000 le nombre de mouvements déclarés au cours de ce trimestre, correspondant à un solde brut d'environ 50 000 emplois.
Après la pause des deux trimestres précédents où les effectifs n'avaient progressé que de 0,1 % chaque trimestre, les établissements de 50 salariés et plus créent à nouveau des emplois au quatrième trimestre 1989.