Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
Au regard de leur forte présence, en légère mais constante progression depuis 1997, parmi les demandeurs d'emploi, les femmes sont sous-représentées à l'entrée dans l'ensemble des dispositifs ciblés de la politique de l'emploi.
En mars 2000, plus d’un an après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), 56 % des bénéficiaires déclarent occuper un emploi et 26 % être au chômage.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).
Mis en place en octobre 1998 dans le cadre de la loi de lutte contre les exclusions, le dispositif TRACE (TRajet d’ACcès à l’Emploi) a permis la prise en charge de près de 95 000 jeunes.
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
Malgré une activité économique ralentie par rapport au trimestre précédent, la croissance de l’emploi est demeurée vive au début de l’année 2001 : 116 000 nouveaux emplois ont été créés ce trimestre grâce aux bons résultats de chacun des grands secteurs concurrentiels, tertiaire, industrie, construction, et grâce aux effets de la politique de l’emploi.
En quoi l’utilisation des mesures d’aide à l’emploi est-elle influencée par l’environnement économique des entreprises en 2000 ?
En 2001, les politiques de l’emploi ont contribué, par le jeu d’incitations ou de dispositions contraignantes, au développement d’activités exercées de façon temporaire (et/ou à temps partiel) par des chômeurs.