Santé mentale, expériences du travail, du chômage et de la précarité
- Le 2 avril 2019
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Les changements organisationnels ont concerné quatre salariés sur dix en 2013. Ils peuvent être un facteur d’insécurité pour les salariés, du public comme du privé, et contribuer à dégrader leur santé mentale.
Cet article se propose dans un premier temps d’examiner l’endogénéité éventuelle de l’insécurité d’emploi par rapport au risque dépressif.
En 2011, 16 % des personnes de 18 à 65 ans résidant en France métropolitaine, en situation d’être sur le marché du travail, éprouvent des difficultés dans au moins un des domaines fondamentaux de l’écrit.
Selon une enquête menée en 2009 par la Dares auprès de demandeurs d’emploi ayant débuté une formation en 2006, 38 % étaient en emploi un mois après la fin de leur formation, 56 % six mois après et 64 % dix-huit mois après.
En 2011, 566 000 demandeurs d’emploi sont entrés en formation (-4,5 % par rapport à 2010).
594 000 demandeurs d’emploi sont entrés en formation en 2007, soit 6 % de moins qu’en 2006.
Au troisième trimestre 2003, l’activité a rebondi et certains indicateurs avancés se sont redressés.
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.
Les collectivités locales s'impliquent dans la lutte contre le chômage, du fait de leurs compétences, mais aussi au travers de fonctions nouvelles : l'animation, l'expérimentation et la médiation.