À travail (de valeur) égal(e), salaire égal
- Le 17 octobre 2019
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56,6 % des salariés concernés par la hausse du Smic sont des femmes, et même près de 64 % dans les entreprises de 500 salariés ou plus, alors qu’elles représentent moins de la moitié des salariés, y compris dans les grandes entreprises.
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
En 2012, le salaire horaire net des femmes était inférieur de 16,3 % en moyenne à celui des hommes. Cela reflète à la fois des écarts de salaire au sein de chaque famille professionnelle, mais aussi d’importantes différences de salaires entre métiers.
En 2010, le salaire net mensuel en équivalent temps plein des femmes est inférieur de 19,7 % à celui des hommes.
Le salaire horaire des femmes est inférieur de 14 % à celui des hommes.
Environ 61 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel en 2006 ont connu au moins une interruption dans leur carrière depuis leur premier emploi.
En moyenne, le salaire horaire total des femmes est inférieur de 19 % à celui des hommes en 2002.
En 2004, dans le secteur concurrentiel, la rémunération mensuelle brute d’un salarié à temps complet s’élevait en moyenne à 2 440 euros, soit 2,7 % de plus qu’en 2003.
Banques, Plasturgie, Bureaux d'études techniques...es femmes sont moins bien classées que leurs collègues masculins dans les grilles de classification des conventions collectives.