Les écarts de salaires femmes-hommes en 2010
- 29 décembre 2015
- Document d'études N°196
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
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Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet à la fin du mois de septembre 2015.
53,8 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en 2014 : 44,0 % occupent un emploi et 9,8 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,3 %.
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2015 et de 1,2 % sur un an.
Cette nouvelle édition vise à mettre à la disposition d’un large public les informations les plus récentes et les plus complètes pour apprécier l’activité des personnes handicapées et leur situation par rapport à l’emploi et au chômage.
En 2013, 386 700 travailleurs handicapés ont été employés dans les 99 800 établissements assujettis à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH).
En 2012, le salaire horaire net des femmes était inférieur de 16,3 % en moyenne à celui des hommes. Cela reflète à la fois des écarts de salaire au sein de chaque famille professionnelle, mais aussi d’importantes différences de salaires entre métiers.
Au 1er janvier 2015, 1,7 million de salariés des entreprises du secteur concurrentiel (hors apprentis et intérimaires) ont été concernés par la revalorisation du Smic horaire, soit 11,1 % des salariés (après 10,8 % au 1er janvier 2014 et 12,3 % au 1er janvier 2013).
Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.