Apprentissage et alternance en 1996
- 20 août 1997
- Dares Résultats N°34.4
Avec près de 200 000 nouveaux contrats signés en 1996, l'essor de l'apprentissage, amorcé en 1993, se poursuit.
34 résultats
Avec près de 200 000 nouveaux contrats signés en 1996, l'essor de l'apprentissage, amorcé en 1993, se poursuit.
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du deuxième trimestre 1997. Elle s'établit. en moyenne, à 38,87 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,79 heures pour les non-ouvriers et à 38,99 heures pour les ouvriers.
En 1996, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 13,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,6 % de la rémunération totale. Elles évoluent au même rythme que le salaire de base.
En mai 1997, les proportions de salariés augmentés sont équivalentes à celles d'Ivry. Le rythme mensuel d'augmentation des salaires reste stable pour les employés et s'accélère légèrement pour les ouvriers.
En juin 1997, les proportions de salariés augmentés sont inférieures à celles constatées au mois de mai. 10.4 % des ouvriers et 8,7 % des employés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base (données CVS).
En octobre 1996, dans les petits établissements, le gain mensuel moyen brut est de 10 855 francs pour un travail à temps plein, soit 8,5 % de moins que dans les établissements de 10 salariés et plus. Une femme y gagne en moyenne 17 % de moins qu'un homme.
En 1995, 37 800 organismes de formation ont réalisé un chiffre d'affaires de 35,1 milliards de francs au titre de la formation professionnelle continue, soit une baisse de 1,7 % par rapport à 1994.
La durée hebdomadaire du travail est en légère baisse par rapport au début du premier trimestre 1997. Elle s'établit, en moyenne, à 38,88 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,82 heures pour les non-ouvriers et à 38,98 heures pour les ouvriers.
La hausse modérée du SMIC du 1er juillet1996 s'est accompagnée d'une quasi-stabilité du nombre de bénéficiaires (11,0 % contre 11,2 % en 1995). Cette continuité apparente dissimule cependant un clivage assez net.
Au début des année 80, deux instruments de rémunération apparaissent ou connaissent un nouvel essor : l'individualisation des hausses de salaires et l'intéressement.