Les élections aux comités d'entreprise en 1988
- 15 juin 1989
- Dares Analyses N°131
La participation est en baisse sensible : 66,8 % (- 1,2 par rapport à 1986) après un ralentissement entre 1984 et 1986.
8 résultats
La participation est en baisse sensible : 66,8 % (- 1,2 par rapport à 1986) après un ralentissement entre 1984 et 1986.
La durée hebdomadaire du travail s'établit en moyenne à 38,99 heures pour l'ensemble des salariés, 38,85 heures pour les employés et 39,12 heures pour les ouvriers.
En mai, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 2 516 800 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une baisse de 0,7 % par rapport à avril.
Le salaire minimum a progressé de 3,3 % en un an, de juillet 1987 à juillet 1988. La proportion de salariés bénéficiaires directs du relèvement du SMIC au 1er juillet 1988 est de 7,0 % dans les établissements de 10 salariés et plus.
Après avoir sensiblement décru entre 1980 et 1984, le nombre des contrats d'apprentissage enregistrés par le Ministère du Travail connaît depuis cette date une croissance continue.
En 1988, un peu plus d' 1,2 million de journées individuelles non travaillées (J.LN.T.I) pour fait de grève ont été dénombrées dans les entreprises : 1,1 million pour les conflits localisés et 150 000 journées pour les conflits généralisés.
D'octobre 1988 à janvier 1989, la durée hebdomadaire effective du travail est en baisse pour les ouvriers par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit en moyenne à 38,95 heures pour l'ensemble des salariés, 38,85 heures pour les employés et 39,05 heures pour les ouvriers.
En février, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 2 527 300 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une baisse de 0,8 % par rapport à janvier.