La politique de l'emploi en 1997
- 5 août 1998
- Dares Résultats N°35.2
L’année 1997 a été marquée par un nouveau recul des entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l’emploi.
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L’année 1997 a été marquée par un nouveau recul des entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l’emploi.
Le taux de participation aux élections des comités d’entreprise a diminué de 0,5 point entre 1994 et 1996.
Le troisième trimestre 1997 vient clore une période d’une année environ de croissance modérée de l’emploi.
L’année 1997 a connu une stabilisation des effectifs de bénéficiaires d’un contrat aidé dans le secteur non marchand.
En 1996, les technologies de l’information et des télécommunications font partie des activités fortement créatrices d’emplois.
On compte 2 952 400 demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie 1 à la fin du mois de juin 1998.
Alors que près d'un tiers des personnes du panel ont retrouvé un emploi, c'est le cas de seulement 12 % des plus de 50 ans. Enfin, ces derniers bénéficient moins fréquemment d'une formation : 1,5 % d'entre eux sont en stage en octobre 1990, contre 6 % pour l'ensemble.
La dépense pour l'emploi (DPE) recense les efforts consentis par la collectivité nationale pour J'emploi et la formation. Cet effort représente 217 milliards de francs en 1990, en hausse de 4,1% en francs constants par rapport à 1989.
Un tiers des entreprises qui ont conclu un accord d'intéressement ont mis en place un plan d'épargne d'entreprise.
Au cours des deux dernières années, les associations intermédiaires ont consolidé leur implantation : au cours du premier semestre 1991, elles ont fourni 1,3 million d'heures de travail en moyenne chaque mois, soit l'équivalent de 7 700 salariés à plein temps.