Emploi

Zone Centrale

L’emploi recouvre l’ensemble des personnes exerçant une activité professionnelle rémunérée, qu’elle soit salariée ou non (micro ou auto-entrepreneurs, indépendants, commerçants, artisans etc.). Il peut être analysé en caractérisant les emplois existants à une date donnée (le stock de personnes en emploi) et, de manière complémentaire, en décrivant les embauches et les fins de contrats (les flux comptabilisés au travers des mouvements de main-d’œuvre).

En France, durant les dernières décennies, le marché du travail est marqué par une forte augmentation des contrats à durée déterminée (CDD) dans les embauches (flux), leur part dans l’emploi salarié (le stock) restant toutefois plus contenue. Ceci traduit une nette diminution des durées des contrats.

La Dares diffuse principalement des données sur les mouvements de main-d’œuvre (les embauches et les fins de contrats, par motif, âge, etc.) ainsi que sur l’emploi intérimaire, et elle propose des analyses sur l’ensemble des dimensions de l’emploi (saisonniers, contrats courts, etc.).

Toutes les productions sur

Emploi ( 6 résultats )

6 résultats

  • Publication

    Les mouvements de main-d'œuvre au 1er trimestre 2014

    Au 1er trimestre 2014, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente dans les établissements de 10 salariés ou plus.

  • Publication

    Emploi, chômage et population active en 2013

    Du fait d’une fin d’année dynamique, 55 000 emplois ont été créés en 2013. Dans le secteur concurrentiel, 29 000 postes salariés ont été détruits dans un contexte de faible croissance économique et malgré des gains de productivité limités.

  • Publication

    L'emploi intérimaire au 1er trimestre 2014

    À la fin du 1er trimestre 2014, 517 400 salariés sont intérimaires, soit une baisse de 26 200 postes par rapport au trimestre précédent (-4,8 %).

  • Publication

    Le dispositif CFI-Jeunes

    En quatre ans, plus de 530 000 jeunes se sont engagés dans le Crédit Formation Individualisé. Parmi eux, 190 000 étaient dans un parcours en décembre 1993. Il s'agit d'une population en situation d'échec scolaire, dont les tentatives d'insertion ont jusqu'alors échoué.