L'emploi intérimaire
- 10 décembre 2023
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
16 résultats
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 3e trimestre 2023 (-2,1 %, soit -16 300 intérimaires), après une baisse moins marquée au 2e trimestre (-0,9 %, soit -6 900 intérimaires) et une baisse de même ampleur au 1er trimestre (-2,6 %, soit -21 400). Sur un an, il est en baisse de 5,0 %.
Ces données couvrent l’activité des organismes de services à la personne qui ont une activité prestataire en France. Elles permettent de connaître le nombre d’heures rémunérées de 2013 à 2021, ainsi que le nombre d’organismes actifs en tant que prestataires et la répartition de leurs heures d’intervention par famille d’activités de 2015 à 2021.
En six ans, le taux de recours du secteur hospitalier aux intérimaires des entreprises de travail temporaire s’accroît régulièrement, hors période d’urgence sanitaire : il passe de 0,2 % fin mars 2017 à 0,4 % fin mars 2023.
L’emploi intérimaire diminue légèrement au 2e trimestre 2023 (-0,5 %, soit -4 300 intérimaires), après une baisse plus marquée au trimestre précédent (-2,5 %, soit -20 400 intérimaires au 1er trimestre 2023). Sur un an, il est également en recul, de 1,5 %.
L’emploi intérimaire recule au 1er trimestre 2023 (-2,2 %, soit -18 100 intérimaires), après une hausse modérée au trimestre précédent (+0,2 %, soit +1 500 intérimaires au 4e trimestre 2022). Sur un an, il est également en baisse de 2,2 %.
Quelques faits stylisés à partir de l’enquête Ofer 2016.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.