Conjoncture de l'emploi et du chômage au 4e trimestre 2006
- 22 mars 2007
- Dares Indicateurs N°13.5
Au 4e trimestre de 2006, la croissance du PIB est repartie à la hausse (+0,6 %), après la stagnation du trimestre précédent (0,0 %).
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Au 4e trimestre de 2006, la croissance du PIB est repartie à la hausse (+0,6 %), après la stagnation du trimestre précédent (0,0 %).
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).
Entre le 31 décembre 2005 et le 31 décembre 2006, l’emploi concurrentiel augmente de +192 000 postes (+1,1 %), après +117 200 l’année précédente.
Parmi les salariés embauchés en contrat nouvelles embauches (CNE) au mois d’octobre 2005, sept sur dix travaillaient encore dans la même entreprise au bout de six mois et cinq sur dix au bout de douze mois.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides) .
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).
Au cours du troisième trimestre 1994, la croissance de l'emploi salarié observée sur les six premiers mois de l'année se confirme : dans les secteurs marchands non agricoles, les effectifs salariés se sont accrus de 0,4 %.
Les années 1992 et 1993 ont été particulièrement défavorables en matière d'emploi, 450 000 suppressions en deux ans se traduisant par 650 000 chômeurs supplémentaires.
Au cours du deuxième trimestre 1994, l'amélioration de la situation de l'emploi salarié constatée au trimestre dernier se confirme : dans les secteurs marchands non agricoles, l'emploi s'est accru de 0,6 % par rapport au trimestre précédent.
Au cours du premier trimestre 1994, et pour la première fois depuis trois ans, l'emploi salarié a augmenté : + 0,2 % dans les secteurs marchands non agricoles. Cette croissance de l'emploi provient essentiellement du tertiaire marchand (+ 0,7 %).