Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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En 2011, 370 900 travailleurs handicapés ont été employés dans les 100 100 établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés (OETH).
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En 2011, 2 millions de personnes de 15 à 64 ans vivant en France métropolitaine dans un ménage ordinaire déclarent avoir une reconnaissance administrative d’un handicap leur permettant de bénéficier de l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés (OETH).
En 2008, 58 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 9,3 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En 2008, 284 000 travailleurs handicapés ont été employés dans les 129100 établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés (OETH).
Un tiers des entreprises qui ont conclu un accord d'intéressement ont mis en place un plan d'épargne d'entreprise.
En 1989, les salariés du secteur privé et semi-public touchent en moyenne 14,9 % de rémunération sous forme de primes. Celles-ci sont versées à cadence mensuelle à hauteur de 6,6 % et à périodicité différente à hauteur de 8,3 %.
Le spectaculaire essor de l'intéressement s'est poursuivi en 1990 : 10 700 entreprises, qui employent environ 2 millions de salariés, appliquaient un accord d'intéressement à la fin de l'an dernier.
Près de 250 000 handicapés étaient employés en 1989 dans les établissements du privé et du semi-public d'au moins 20 salariés. Ce sont généralement des hommes, âgés et ouvriers, victimes d'accidents du travail.