Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En France métropolitaine, en 2012, plus d’une personne sur deux âgée de 18 à 64 ans a suivi au moins une formation dans l’année, que ce soit dans un but personnel ou professionnel.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
En 2011, dans un contexte d’activité économique ralentie, le chiffre d’affaires réalisé par les organismes dispensateurs de formation professionnelle, qu’il s’agisse de leur activité principale ou d’une activité secondaire, a continué à progresser (+5,0 %).
Le dispositif « compétences clés » s’inscrit dans un cadre européen définissant les compétences de base pour l’éducation et la formation tout au long de la vie.
En 2011, les embauches exonérées dans les territoires de la politique de la ville ont poursuivi leur recul : diminution de 17 % en zones franches urbaines (ZFU) et de 29 % en zones de redynamisation urbaine (ZRU).
En 2004, 4 400 candidats se sont présentés à des épreuves de validation d’un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi. 1 700 ont terminé leur parcours de validation avec l’obtention du titre complet.
En mars 2003, quatre ans après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), les bénéficiaires qui ont enchaîné un contrat emploi-solidarité (CES) puis un CEC se retrouvent dans deux cas sur trois en emploi. 19 % sont au chômage.