Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
Au regard de leur forte présence, en légère mais constante progression depuis 1997, parmi les demandeurs d'emploi, les femmes sont sous-représentées à l'entrée dans l'ensemble des dispositifs ciblés de la politique de l'emploi.
En mars 2000, plus d’un an après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), 56 % des bénéficiaires déclarent occuper un emploi et 26 % être au chômage.
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).
Mis en place en octobre 1998 dans le cadre de la loi de lutte contre les exclusions, le dispositif TRACE (TRajet d’ACcès à l’Emploi) a permis la prise en charge de près de 95 000 jeunes.
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.