Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Au 30 septembre 2011, 2 430 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi n’étaient pas indemnisables par le régime d’assurance chômage (RAC).
Au 30 septembre 2011, 2 715 000 demandeurs d’emploi ou dispensés de recherche d’emploi étaient indemnisables par l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE).
En 2001, les entreprises non agricoles ont distribué 8,7 milliards d'euros au titre de la participation et de l'intéressement, une somme en hausse de 14,5 % par rapport à l'année précédente.
La conjoncture économique principale responsable de la hausse du chômage.
L'année 2001 a été marquée par un ralentissement économique dont les effets ont été sensibles sur la conjoncture du marché du travail.
La réduction du nombre de demandeurs d’emploi indemnisés amorcée en 1999 s’est accentuée l’année suivante, en cohérence avec l’important reflux du chômage sur cette période.
Début 2001, les Français jugent plus positivement que les années précédentes les politiques de l'emploi et désignent le programme « Nouveaux Services-Emplois Jeunes » comme première cause de la baisse récente du chômage en France.
En 1999, 5,4 millions de salariés, soit 37 % de l’effectif des entreprises des secteurs marchands non agricoles, ont reçu une prime de partage des bénéfices au titre de la participation ou de l’intéressement.