Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
En juillet 2000, 13,6 % des salariés ont bénéficié d’une garantie légale d’évolution de leur pouvoir d’achat sous la forme, soit du relèvement du SMIC horaire, soit de la garantie mensuelle de rémunération, pour les salariés dont la durée du travail a été réduite.
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
Au second trimestre 1994, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus, atteint 6,8 % (en données corrigées des variations saisonnières), contre 6,5 %, le trimestre précédent.
Au cours du premier trimestre 1994, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus, est de 6,5 % (en données corrigées des variations saisonnières), contre 6,6 %, le trimestre précédent.
En 1993, comme en 1992, les établissements de 10 salariés et plus du secteur privé perdent des emplois.
Le respect des obligations légales lors du relèvement du SMIC de juillet 1993 a entraîné une baisse de la proportion parmi les salariés qui passe en un an de 8,6 à 8,2 %. En outre, le vieillissement de la population des salariés au SMIC se poursuit.
Une évolution de l'emploi sensiblement meilleure que sur le premier semestre, mais un peu plus dégradée qu'au trimestre précédent.
Au cours du troisième trimestre 1993, l'évolution de l'emploi dans les grands établissements semble moins dégradée que durant les deux trimestres précédents.