Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014
- 5 décembre 2016
- Dares Résultats N°072
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
12 résultats
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Une progression du salaire mensuel de base légèrement plus forte dans l’industrie.
En 2013, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 912 euros et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 202 euros.
Fin 2013, 15,3 millions de salariés sont couverts par 704 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), se regroupant en 495 conventions collectives agrégées.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées au total à 74 milliards d’euros en 2007, soit 3,9 points de PIB.
Au 1erjuillet 2009, la revalorisation du Smic horaire a concerné 10,6 % des salariés des entreprises non agricoles hors intérim, contre 13,9 % au 1er juillet 2008.
Ce rapport présente de nouvelles estimations qui reposent sur une utilisation conjointe des données des Échantillons interrégimes de retraités (EIR) 2001 et 2004 et de l’Échantillon interrégimes de cotisants (EIC).
Quelle que soit la configuration étudiée, le RSA induit une hausse du niveau d’emploi et de la participation sur le marché du travail.
15 % mettent en avant le besoin d’un soutien financier et matériel visant à lever certains obstacles à la reprise d’emploi.
Avant la généralisation du revenu de solidarité active (RSA), trente-trois départements ont expérimenté, dans des « zones tests », un dispositif préfigurant le RSA, réservé aux bénéficiaires du RMI et de l’API.