Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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En 2015, 1,3 % des entreprises de 10 salariés et plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit un taux équivalent à celui de 2014. Ces entreprises emploient 24 % des salariés du champ.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
Les flux de main-d'oeuvre fléchissent au début de l'année 2002, en raison d'un repli des entrées pour tous les secteurs, conduisant à un resserrement du solde des entrées et des sorties.
Les flux de main-d'œuvre se redressent à la fin de l'année 2001 avec davantage d'entrées, en raison d'une reprise dans la construction et le tertiaire.
Au troisième trimestre 2001, la mobilité des salariés reste élevée, bien qu'en légère diminution sur un an.
Au deuxième trimestre 2001, dans les établissements de 10 salariés ou plus, la rotation de la main-d'œuvre, bien qu’en léger retrait, reste vive.
Au premier trimestre 2001, la mobilité des salariés reste très élevée mais se caractérise par davantage de sorties et un peu moins d’entrées.
Après la nette reprise de 1999, le nombre de jours de grève dans les entreprises augmente encore de 41 % en 2000, retrouvant un niveau proche de celui enregistré à la fin des années 1980.
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du deuxième environ 6 100 000 salariés.