Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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En 2015, 1,3 % des entreprises de 10 salariés et plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit un taux équivalent à celui de 2014. Ces entreprises emploient 24 % des salariés du champ.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du deuxième environ 6 100 000 salariés.
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la déclaration des mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du premier trimestre 1988 environ 6 100 000 salariés.
En 1987, les conflits collectifs du travail ont été la cause d'à peine un million de journées non travaillées. Ce chiffre est inférieur à celui de 1986 et dépasse tout juste celui de 1985 pourtant l'un des plus bas depuis quarante ans.
Les établissements de 50 salariés et plus concernés par la déclaration des mouvements de main-d'oeuvre employaient au début du quatrième trimestre 1987 environ 6 200 000 salariés. Au cours de ce trimestre, il y a eu dans ces établissements 329 000 entrées et 415 000 sorties.
Les établissements de 50 salariés et plus employaient au début du troisième trimestre 1987 environ 6 250 000 salariés. Au cours de ce trimestre, il y a eu dans ces établissements 534 000 entrées et 613 000 sorties, soit une perte nette de 79 000 salariés en données brutes.
Les établissements de 50 salariés et plus employaient au début de l'année 1987 environ 6 200 000 salariés. Au cours du premier semestre, il y a eu dans ces établissements 695 000 entrées et 659 000 sorties soit un gain net de 36 000 salariés en données brutes.
Dans les établissements de 50 salariés et plus comme pour l'ensemble des établissements, l'évolution de l'emploi salarié a été plus favorables en 1986 qu'en 1985.