Accords d’entreprise sur la GPEC : réalités et stratégies de mise en œuvre
- Le 26 novembre 2012
10 résultats
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
88 252 accords et autres textes assimilés ont été établis ou signés dans les entreprises françaises en 2010 soit une baisse de 24,8 % par rapport à 2009.
En 2010, 14,3 % des entreprises de 10 salariés ou plus ont engagé des négociations collectives.
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social…).
Le début de l'année 1990 prolonge et amplifie l'accélération des salaires observée depuis 1989. Les salaires de base des ouvriers progressent sur le premier trimestre 1990 à 1,6 % contre 1,3 % l'an passé, soit l'évolution la plus forte depuis 1985.
De 1974 à 1985, le nombre annuel d'entrées de travailleurs permanents n'a pas cessé de décroître. L'année 1986 a amorcé un retournement de tendance à la hausse qui s'accentue en 1989 (18 646 en 1989 contre 14 594 en 1988, soit + 27,8 %).
Dans les établissements de 10 salariés et plus, la main-d'oeuvre étrangère continue de baisser. Le nombre de salariés étrangers s'est en effet réduit dans ces établissements de 1 074 000 en 1979 à 703 000 en 1988, soit une baisse de 34 % en neuf ans.